Afficher le sommaire Masquer le sommaire Les dommages potentiels causés par les cybermenaces ne cessent de croître, et depuis 2017, des collectifs de cyberespionnage affiliés à la Corée du Nord, la Russie, la Chine et l’Iran ont exploité une vulnérabilité cachée dans les fichiers de raccourci Windows (*.LNK). Ces groupes n’ont pas hésité à infiltrer des institutions gouvernementales, des banques et des infrastructures critiques, établissant ainsi une nouvelle ère de cybermenaces plus ciblée et sophistiquée. Des opérations d’espionnage sophistiquées La faille dans les fichiers LNK, bien que souvent sous-estimée, a démontré son potentiel destructeur lorsqu’elle est couplée avec d’autres vulnérabilités. Les pirates informatiques utilisent ces fichiers piégés pour s’introduire dans des systèmes en masquant du code malveillant. Une fois que la porte est ouverte, ils déploient des backdoors persistantes et lancent des spywares, laissant leurs victimes vulnérables. Les fichiers LNK infectés se propagent principalement par : des emails non sécurisés…
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