Surnommée « Serengeti », l’opération a conduit à l’arrestation de plus de 1 000 individus soupçonnés d’être impliqués dans des cybercrimes tels que des attaques par ransomware et des compromissions de courriels professionnels (BEC), entraînant près de 193 millions de dollars de pertes financières à l’échelle mondiale.Alors que l’Afrique connaît une numérisation rapide, la menace de la cybercriminalité sur le continent s’intensifie également. En Afrique en général et en Afrique de l’Ouest en particulier, les ransomwares sont devenus l’un des vecteurs d’attaque les plus redoutés, ciblant notamment les infrastructures critiques, les institutions financières et les installations de fabrication.Au cours des dix premiers mois de 2024, les détections de ransomwares en Afrique de l’Ouest ont augmenté de 36 % par rapport à l’année précédente, selon les données de Kaspersky. Parmi les autres cybermenaces notables visant les utilisateurs et les organisations de la région figurent les logiciels espions et les voleurs de mots…
_Cybersecurite via GRISE Veille Globale on Inoreader
